My name is Krakounass, aka a.n.rkix.

I live en Chiraquie, und ich bin from "France d'en bas".

Je suis mort. Je suis né deux fois.

Et maintenant, je vais "éructer" sur nos vies émétiques.

Et j'urinerai sur la face flétrie de la planète. En toute décontraction...

Jacko et Bernie sont sur un bateau, Jacko tombe à l'eau, Bernie tombe à l'eau. Qui les regarde se noyer?

Rise up, fallen fighters
Rise and take your stance again....

Tu t'étais promis de ne jamais devenir comme ceux que tu méprisais.

Et le temps passe... Petit à petit, la Bête te transforme, la Machine te formate. Tu tentes en vain de te convaincre que tu es toujours le même.

Tu bouffes du concept prémaché....

Tu fabriques tes propres oeillères...

Tu cours, tu sautes, tu feintes, tu tortures...

Tu t'imposes des règles qui ne te ressemblent pas.  Suprême ironie de l'illusion républicaine...

Et la rage devient aigreur...

La mue est lente et douloureuse. Stoïque, tu te flagelles ! La vie te détruit, tu glisses.

Plus le temps de sourire, tu travaille trop, pour pas grand chose. Mais tu es le meilleur, tu le sais, on te l'a dit!

"Je serai propriétaire! " .... comme tes parents, comme tes voisins, comme ton patron ......

Tu seras parfait et robotisé : travail, famille, patrie, crédit auto et la Grande Motte!

Tu es mort en douceur et tu es la Bête !

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Aujourd'hui, j'ai senti une douleur furtive. Dernier symptôme avant la chute.

Je ne serai jamais de ceux là!

Je me relève, plus fort que jamais. La langue aiguisée et le regard affuté.

Le cigare aux lèvres, souriant et défiant le troupeau......

Je ne suis pas le dernier à me plaindre du pseudo journalisme à la française :  succession de poncifs, lieux communs, quand ce n'est pas de la flagornerie ou de la manipulation pure et simple.  Et pourtant, MOF me fait gentiment sourire avec sa soi disant impertinence. Il est ce qui ce fait de pire en matière d'imposture !

Tout réside chez lui dans le "cassage", judicieusement orchestré et minuté, de pseudo stars préfabriquées ou de vedettes moribondes . Il se délecte de vomir sur un invité "fragile", proie facile car désignée par la vindicte populaire. Qu'il est facile de se payer la tête d'un homme à terre, devant un public conquis d'avance : chez lui, on tire sur l'ambulance et on abat l'infirmière!

Mais lorsqu'il s'agit de caresser dans le sens du poil (au hasard, une " Chodron de Courcel " ), le petit péteux nous sort une panoplie complète de léchage fessier (sans atteindre les sommets d'un Michel Drucker, dont la langue doit sentir le suppositoire depuis belle lurette !). Car chez ce messieur, les "icônes" sont sacrées ! Un révolutionnaire le Marc-O...

Ainsi, que vous vous appeliez Bernadette Chirac, Jeanne Moreau ou Alain Delon, rien ne vaut un bon coup de langue du sieur Fogiel, pour flatter l'égo. (Encore une fois, M.Drucker est hors concours, mais lui au moins ne cache pas sa déférence derrière un simulacre d'effronterie.)

Certes, face à la servilité d'un Pernault ou l'avilissement d'un Pujadas, le sinistre MOF peut apparaitre aux yeux du téléspectateur (amateur de la "Ferme" ou fan des "Grosses têtes") comme un audacieux corrosif...

Toujours est il, que le petit roquet est un maitre es démagogie et n'est en rien irrespectueux. Il est l'archétype du pédant courtisan! Subversif autoproclamé, ou érigé comme tel par une presse parisienne toujours plus compromise, c'est un monstre de vanité!

Je me gausse de ce miteux personnage, en espèrant qu'il ne fera pas illusion plus longtemps.... En attendant, il me fait l'effet d'une purge.

NB : Quant au flasque Carlier, qui sévit sur le même plateau, sa dysenterie verbale m'est insupportable. Il m'est même arrivé de le prendre en pitié, tant ses plates interventions sont légions.